La création d’un meuble ou d'une menuiserie et plus généralement d’un élément de mobilier est quelque chose qui peut être réalisé de diverses façons et en diverses étapes tout en tenant compte des impératifs de machinage de la CNC. Oikema facilite considérablement ce processus.
Les fonctions de menuiserie disponibles dans IronCAD permettent de modéliser tout objet solide et de les mettre en relation avec d’autres éléments de la scène.
Les mêmes fonctions sont mises à disposition par Oikema, logiciel de menuiserie pour l'agencement, mais elles sont simplifiées et optimisées pour la conception de meubles en bois ou caisson sur mesure et paramétriques. Elles sont calquées sur les outils utilisés par le menuisier ou l’agenceur dans son atelier en Belgique, en France, en Suisse ou au Quebec.
Mais l’outil le plus important reste l’homme et son esprit créatif. Aucun outil informatique ne pourra jamais arriver à remplacer totalement la créativité, l’intelligence et l’expérience du menuisier qui sont nécessaires pour concevoir un objet en trois dimensions.
Gratuit: télécharger le logiciel de menuiserie.
Oikema est une application exclusivement développée pour le modélisateur 3D IronCAD, concurrent de Solidworks. Oikema augmente la puissance et la simplicité de la modélisation directe d'IronCAD par l’ajout de différents outils paramétriques et par l’ajout des fonctions de menuiserie les plus souvent utilisées pour la création d’éléments de meubles en bois et de menuiserie.
Ces outils permettent de gérer : les panneaux décoratifs en bois (types, épaisseurs, chutes, prix, poids,…), la quincaillerie (positionnement, prix), le perçage unique et multiple (système 32), les formes, un gestionnaire de cabinet, les bordereaux de débit et de matériaux. Oikema offre la même approche basée sur la technique du « Drag and drop » qui fait la renommée d’IronCAD, sans oublier la convivialité de son interface graphique.
Les fonctions ou outils mis à disposition par OIKEMA permettent les gestions suivantes :
Ci-dessous, vous retrouvez tous les outils mis à disposition par OIKEMA.
Les icônes sont claires et conviviales.
Sincèrement en 6 mois, je me sens plus à l’aise qu’avec mon CAD précédent d’origine française. La prise en main de woodLAB est très facile et donc rapide. Les possibilités sont vastes et la plate-forme vidéo woodLAB ACADEMY est un vrai plus.
woodLAB et l’achat d’une CNC avec table Nesting nous a permis de gérer un gros chantier de façon intelligente et optimale. Un gros travail de conception 3D était nécessaire en amont. Ensuite, woodLAB PLAN et woodLAB CAM ont fait leur travail efficacement.
J’avais un peu peur au début de l’interface en anglais, mais après un jour, je n’y pensais plus tellement l’application est intuitive et correspond à la réalité de mon métier.
Finalement, le fait que l’interface de woodLAB soit en anglais m’a fait réaliser que c’est la langue technique par excellence. En fait, j’apprends un peu l’anglais, en m’amusant !Michaël Elaerts (Lambusart - Belgique), Alain Wagemans (Fleurus - Belgique), Sarah Foullon (Rebecq - Belgique):
Même si l’interface est en anglais, le support est donné en français. C’est le plus important. Je me surprends parfois à utiliser les termes en anglais, comme quoi…Alvine Méry (Lyon - France), Florimond Boinet (Sarthe - France), Sarah Foullon (Rebecq - Belgique):
Que l’interface soit en anglais, est-ce un obstacle ? J’avais un peu peur au début. Et très vite, je l’ai dépassé parce que l’anglais est simple à comprendre. On ne me demande pas de parler l’anglais, mais d’en avoir une compréhension passive.Michaël Elaerts (Lambusart - Belgique):
My tailor is rich. Et moi, sans m’en rendre compte, je m’enrichis en m’amusant, sans effort. Le monde est devenu un village global. Super. Du coup, c’est plus du luxe d’avoir quelques notions d’anglaisCédric Jansen (Bruxelles - Belgique):
Je comprends qu’il y a plus à gagner à avoir l’interface en anglais. On garde un produit homogène. Il n’y a rien de plus désagréable qu’un logiciel mal traduit ! Par exemple, le manuel de ma machine CNC est en français. C’est vrai, c’est en français. Mais est-ce du français ? Pas certain !Nicolas Renard (Bruxelles - Belgique):
L’anglais utilisé dans WoodLab ne pose aucun problème : les termes utilisés ne sont pas compliqués et il s’agit du vocabulaire technique usuel que l’on retrouve dans la majorité des programmes de conception assistée par ordinateur. L’avantage principal de l’usage de l’anglais se situe selon moi par rapport aux collaborateurs, sous-traitants ou fournisseurs : l’uniformisation du langage, au sein d’une sphère professionnelle polyglotte, permet d’assurer une bonne transmission d’informations et une bonne communication, en réduisant les risques de mauvaise interprétation.
En conclusion, ces entreprises ont transformé ce qu’elles considéraient, au départ, comme un handicap en un atout à l’arrivée !